Men Traité des Fables Egyptiennes 3c Grecques déveioppe une partie de ces mylleres. De l'obligae tion dans laquelle j'étois de parler le langage des Philofophes il en cl} rél'ulté une obl'curire' qu'on ne peut diliiper que par une exphcanon particu liete des termes qu'ils employeur 8r des méta phores qui leur font fi familieres. La forme de Dice {ionnaire m'a paru la meilleure, avec d'autant plus de raifort qu'il y peut fervir de Table raifonne'e, par les renvois que j'ai eu foin d'inférer, quand il a été quefiion d'éclaircir des fables déja'er'tpl guées.